A Moscou, les trois soeurs Khatchatourian, âgées de 17 à 19 ans, ont tué leur père après des années d'insultes, de coups et d'abus. L'affaire enflamme les médias. Jugées coupables de meurtre, elles ne bénéficient d'aucune circonstance atténuante. La narratrice retrace leur parcours, le silence des proches, la violence familiale et la brutalité du système judiciaire.

Rencontre du Samedi 13 mai, 17h

Meurtrie par la vie, une riche veuve n'a que la chasse comme passion. Elle charge Max, son homme à tout faire, de trouver un homme qui accepterait de jouer le rôle du gibier. Il contacte Skender, un ancien compagnon d'armes tombé dans la marginalité. Ce dernier n'a plus rien à perdre et accepte. Pendant des mois, chacun se prépare pour cette partie de chasse et se transforme.

Abdallah, Algérien de 18 ans, vit à Paris de petits boulots après avoir été acrobate chez Pinder. Il rencontre Jean Genet, 45 ans, qui lui dédie son recueil Le funambule. Les deux hommes entretiennent une liaison passionnée et, fasciné par l'agilité d'Abdallah, Genêt entreprend de hisser son amant au sommet de son art et de lui ouvrir les portes de la gloire

Armand a rendez-vous dans un café avec Esther, une ancienne adolescente difficile, fille d'un homme avec qui il a travaillé, pour discuter des problèmes qui se posent à cet âge afin de mieux comprendre Hélène, sa petite-fille qui vient d'être exclue de l'école. Quelques semaines plus tard, cette dernière disparaît de la pension où elle a été placée.

Soirée du Samedi 13 mai, 17h

Tous les jeudis, Jean-Luc et Jean-Claude ont le droit de prendre un verre dans le café du bourg. Mais un jour, ils font la connaissance d'un jeune homme blond qui vient d'Abbeville. Jean-Claude s'inquiète pour les phoques de la baie, mis en danger à cause de la tempête qui a balayé tout le canton. Il pleut et l'inconnu leur propose de les ramener au foyer en voiture

Rencontre du Samedi 11 mars, 17h

La vie de Gabrielle, de ses premiers pas à son adolescence. La jeune fille grandit, lutte et s'affranchit, entourée de Suzanne, Joséphine et Maria, des femmes appartenant à des générations sacrifiées ou mal aimées, qui ont appris à se dévouer, à faire face et, souvent, à se taire.

Rencontre du Samedi 8 avril, 17h